Master Droit Privé - Pratique Contractuelle et Contentieux des Affaires

  • Master
  • BAC +5
  • Faculté Droit, Économie & Gestion
  • Vannes
  • Droit
  • Droit privé - Pratique contractuelle et contentieux des affaires
  • Durée : 2 année(s)

Présentation

Objectifs

Si l’année de master 1 droit privé - pratique contractuelle et contentieux des affaires est plus généraliste que celle du master 2 droit privé - pratique contractuelle et contentieux des affaires, elles ont en commun leur objectif d’insertion professionnelle par le biais de l’alternance entre l’entreprise et l’université. Suivre les deux années de master de droit privé à l’UBS, c’est pouvoir acquérir plus de six mois d’expérience professionnelle afin de s’orienter vers un premier métier de façon plus éclairée. La réalisation de projets tuteurés, souvent en équipe, permet de développer le sens du collectif et de l’habileté professionnelle.

 

Master 1 Droit privé - Pratique contractuelle et contentieux des affaires

La première année de master poursuit un objectif de consolidation du socle commun de la formation juridique en droit privé, qui doit donner aux étudiants un large accès aux différentes offres de spécialités au niveau master 2, et ce, aussi bien à l’Université Bretagne Sud qu’au sein d’une autre université.

La première année de master permet également un début de spécialisation des étudiants dans un domaine du droit privé : les stages, les projets tuteurés et les mémoires de recherche réalisés durant cette année de formation offrent aux étudiants la possibilité d’une première spécialisation individualisée, découlant de la nature du stage ou du thème du projet tuteuré ou encore du mémoire de recherche, que chaque étudiant choisit en fonction de l’orientation professionnelle qu’il souhaite prendre.

 

Master 2 Droit privé - Pratique contractuelle et contentieux des affaires

La formation est orientée vers la pratique contractuelle, la gestion du risque et le droit des affaires. Axé sur le contentieux des affaires et la rédaction d’actes, le parcours vise essentiellement à former de futurs juristes d’entreprise ; en cela, il se démarque des offres avoisinantes (masters de droit des affaires tournés essentiellement vers la fiscalité ou le droit des sociétés, ou masters contentieux formant aux professions judiciaires), et répond à une attente des entreprises tant au niveau national qu’au sein du bassin d’emploi morbihannais. La formation permet aussi aux étudiants de se diriger vers les professions judiciaires, comme la profession d’avocat ou d’huissier de justice.

Savoir-faire et compétences

Les compétences recherchées sont à la fois théoriques et pratiques en droit de l'entreprise et des affaires et en droit des contrats. La formation de haut niveau permet au diplômé de développer un savoir-faire démontrant sa capacité à rendre l'essentiel des services qu'une entreprise peut attendre d'un juriste en matière de contentieux des affaires, de gestion du risque et de pratique contractuelle : analyse et suivi des contrats, contentieux commercial, responsabilité civile et pénale du dirigeant de l'entreprise. Dans cette perspective, le diplômé développe une vision transversale des risques liés à l'activité des entreprises.Les compétences recherchées sont à la fois théoriques et pratiques en droit de l'entreprise et des affaires et en droit des contrats. La formation de haut niveau permet au diplômé de développer un savoir-faire démontrant sa capacité à rendre l'essentiel des services qu'une entreprise peut attendre d'un juriste en matière de contentieux des affaires, de gestion du risque et de pratique contractuelle : analyse et suivi des contrats, contentieux commercial, responsabilité civile et pénale du dirigeant de l'entreprise. Dans cette perspective, le diplômé développe une vision transversale des risques liés à l'activité des entreprises.

Contenu de la formation

Méthodes pédagogiques utilisées

Cette formation juridique poursuit un objectif de consolidation des acquis et de spécialisation des étudiants.
La première année de master s’inscrit dans une perspective de consolidation du socle commun de la formation juridique en droit privé. Les enseignements fondamentaux sont éventuellement doublés de travaux dirigés.
La seconde année, organisée sous la forme de séminaires, amène l'étudiant à mettre en application de ses connaissances à des problématiques concrètes, à rechercher des stratégies contentieuses et non contentieuses et développer une réflexion sur les implications pratiques des connaissances ainsi acquises.

Les deux années de formation s’inscrivent aussi dans une perspective professionnalisante, visant à rendre rapidement opérationnels les étudiants diplômés : les stages, les projets tuteurés ou/et les mémoires de recherche réalisés offrent ainsi aux étudiants la possibilité d’une spécialisation individualisée (découlant de la nature du stage ou du thème du projet tuteuré ou encore du mémoire de recherche), que chaque étudiant choisit en fonction de l’orientation professionnelle qu’il souhaite prendre.

Au travers de ces exercices, il s’agit de développer le sens de l’autonomie des étudiants en leur permettant d’être confrontés à une pratique ou à un travail de recherche qui vient compléter les acquis universitaires.

L'ensemble de ces exercices donne lieu à la rédaction d'un rapport ou mémoire professionnelle.

  • Réalisation d’un stage obligatoire d'une durée minimale de 8 semaines en M1
  • Réalisation d'un stage obligatoire d'une durée minimale de 13 semaines en M2
  • Réalisation d’un éventuel stage facultatif au cours des 1er et 3e semestres

Suivre les deux années de master de droit privé, c’est pouvoir acquérir plus de six mois d’expérience professionnelle.

Cette dimension professionnalisante est également assurée par l'équipe pédagogique où interviennent des enseignants tant universitaires que praticiens.

Contrôle des connaissances

Modalités d'évaluation

La formation permet l'obtention d'un diplôme d’État inscrit au RNCP sous réserve de satisfaire aux modalités d'évaluation des connaissances et compétences en contrôle continu et/ou examen terminal.

Stages

Stage obligatoire de longue durée : 8 à 10 semaines en master 1 et 13 à 20 semaines en master 2.

Modalités de formation

  • Formation continue diplômante
  • Formation initiale

Référentiel RNCP

Admission

Condition d'accès

L’admission est prononcée par le Doyen de l’établissement, sur proposition d’une commission après examen du dossier de candidature éventuellement complété par des auditions.

 

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 Capacité d'accueil

Date d'ouverture

 Date de clôture

25

26 février 2024

 

24 mars 2024

 

 

  • Capacité d’accueil : 25 étudiants

Pré-requis obligatoires

Des solides connaissances en droit civil et droit des affaires sont exigées. Une attention particulière sera accordée aux notes obtenues notamment en droit des contrats et droit commercial / sociétés. Outre ces critères académiques, la candidature est appréciée au regard de la qualité de l’expression écrite et de la cohérence de la formation et du projet professionnel. Néanmoins, nous sommes susceptibles d’accueillir également des étudiants, issus d'autres spécialités, qui souhaitent compléter leur formation initiale sous condition d'avoir un projet professionnel défini et justifiant cette orientation.

International

Semestre à l'étranger

Possibilité d’effectuer un semestre ou une année d’études à l’étranger dans une université partenaire.

Poursuite d'études

Passerelles et réorientation

Pour tout projet de réorientation, contactez le service d'Orientation et d'Insertion Professionnelle.

Débouchés et métiers visés

Insertion professionnelle

Témoignages d'anciens étudiants

Métiers visés

La formation permet au diplômé de travailler dans les services juridiques ou contentieux des entreprises, telles que les banques, compagnies d’assurance, offices d’HLM, sociétés de gestion immobilière, administrations publiques. Il exerce également au sein de cabinets d’avocats, d’huissiers de justice, d’administrateurs judiciaires, de mandataires judiciaires, de cabinets d’expertise-comptable.
Ce professionnel apporte un conseil juridique aux dirigeants d’entreprise.

Il assure une veille juridique et informe les différents services des évolutions jurisprudentielles et législatives.
Il apprécie les risques juridiques liés à l’activité de l’entreprise, tant à l’égard de l’entreprise elle-même que de ses dirigeants.
Il organise une stratégie de prévention de ces risques.
Il gère les comptes clients de l’entreprise et met en place une prévention de l’insolvabilité des clients.
Il négocie et rédige les actes juridiques, notamment les contrats conclus par l’entreprise.
Il propose et négocie une solution amiable en cas de litige et rédige l’acte subséquent. En cas d’échec de la solution amiable, il entreprend une démarche
contentieuse et assure l’interface avec les avocats et huissiers de justice.
Il assure une veille juridique et informe les différents services des évolutions jurisprudentielles et législatives.